Do you known the story of this french pirate ?
il est une legende et est enterré sur l'ile de la réunion .
« La Buse » serait né vers 1680 à Calais, c'était un authentique pirate qui écumait l'Océan Indien. Il fut pendu haut et court le 7 juillet 1730 à 17h00 à l'île Bourbon (aujourd'hui île de la Réunion) pour ses crimes de piraterie. La légende raconte que lorsqu'il était sur l'échafaud la corde au cou, il aurait jeté un cryptogramme dans la foule en s'écriant : « Mon trésor à qui saura comprendre ! » Qui reçut le cryptogramme ? Nul ne saura le dire.
Depuis ce jour, bon nombre de passionnés et de chercheurs de trésors se sont lancés sur ses traces pour retrouver son fabuleux trésor, estimé par certains à quelques millions d'euros.
Durant le mois d'avril 1721, La Buse, associé au pirate anglais John Taylor, s'était emparé de La Vierge du Cap un riche vaisseau portugais de 72 canons qui cherchait refuge à Saint-Denis à Bourbon suite aux tempêtes qui se déchaînaient dans l'océan. Le vaisseau transportait le comte Ericeira, vice-roi des Indes Orientales Portugaises et l'archevêque de Goa.
La Buse et Taylor n’exigèrent pas de rançon au vice-roi mais gardèrent la cargaison en butin : rivières de diamants, bijoux, perles, barres d’or et d’argent, meubles, tissu, vases sacrés et cassettes de pierres précieuses.
La Vierge du Cap, retapée et rebaptisée « Le Victorieux », devint le vaisseau de La Buse. Pourchassé par un pavillon commandé par Duguay-Trouin, Taylor s’enfuit aux Antilles alors que La Buse se retira à l’île Sainte-Marie à l’est de la côte malgache où il prit sa retraite en profitant de la charte de clémence offerte par le Roi de France aux Flibustiers. Mais il se ménagea longtemps avant de se soumettre à cette charte : il restitua les vases sacrés, mais ne put se résoudre à rendre le reste du butin, condition sine qua non de la clémence du Roi.
Durant le mois d'avril 1721, La Buse, associé au pirate anglais John Taylor, s'était emparé de La Vierge du Cap un riche vaisseau portugais de 72 canons qui cherchait refuge à Saint-Denis à Bourbon suite aux tempêtes qui se déchaînaient dans l'océan. Le vaisseau transportait le comte Ericeira, vice-roi des Indes Orientales Portugaises et l'archevêque de Goa.
La Buse et Taylor n’exigèrent pas de rançon au vice-roi mais gardèrent la cargaison en butin : rivières de diamants, bijoux, perles, barres d’or et d’argent, meubles, tissu, vases sacrés et cassettes de pierres précieuses.
La Vierge du Cap, retapée et rebaptisée « Le Victorieux », devint le vaisseau de La Buse. Pourchassé par un pavillon commandé par Duguay-Trouin, Taylor s’enfuit aux Antilles alors que La Buse se retira à l’île Sainte-Marie à l’est de la côte malgache où il prit sa retraite en profitant de la charte de clémence offerte par le Roi de France aux Flibustiers. Mais il se ménagea longtemps avant de se soumettre à cette charte : il restitua les vases sacrés, mais ne put se résoudre à rendre le reste du butin, condition sine qua non de la clémence du Roi.
Vers 1729, il exerçait le métier de pilote dans la baie d’Antongil à Madagascar, il offrit ses services au vaisseau « La Méduse », de la Compagnie des Indes, qui souhaitait entrer dans le port. Le capitaine d’Hermitte, commandant de bord, le reconnut comme celui qui avait plusieurs fois arraisonné des navires de sa compagnie. Il fut arrêté et conduit à l’île Bourbon pour y être jugé.